Page:Corneille Théâtre Hémon tome1.djvu/243

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INTRODUCTION

��«Rodrigue el "chimè"e ont c SrôbfS L f ' ™°™ = et ces passions font Ipnr mnihl.?/ sujette aux passions,

lombelt dansS^nféfic tTU'r'"re"fliWe" ?7' '^"^^", ^^ nous sommes capables cnmmp p.,; f '^^^**e liumame dont

cela est constant^ et Vn a coûte' as e 'hp Ur^^'""' ^^^ P'"^' teurs pour ne le point contesLA >> ^' ^™ ^"^ ^P^^^^"

amants éhon" ; ifs pSstaie^^^^^^^ semblaient des

contre le scanda e de ce dnn « ' T ?™ '^ convenances, mort donne la réDl'm.P «.. r. "^«"^P'aisant, où la fille do faire ici lefconventSïaCbhnVT;- "^^ ^^'^é, qu'ont à cupe; la Chiméne francai.P «nnï -^ espagnole s'en préoc- prom'ise qu'à son honneur enllT7A f putation^om- qu'elle oppose à Rodri-uer'P.M^^ i , -"^ cet honneur seul à cet hoiïï^eur, et iWosslbiH P H- °r ^f ^^^^^ ^^ satisfaire soi-même tout' d'aborra^i mêlPn^/f f^.' '^"'^« ^«^Pt^'" de froids raisonnenSs^Mah or n^.-ilf ' ^V^ ^"^"« ^^"t charme intime et p^nétraSdanf ?p« ' ^ abandonne, quel

deux âmes qui n'onVriefà se ?ep rcbefl'unpTt ^' peuvent s'estimer en mémpfpmr.. — "°^ ^ I autre, et

sautillants, les jolt madrii^dJ^r ^f^'^L^^^P^^'^^ ^ers bipn loin. Tout est ZTfanTlt t ^uilhem de Castro sont n'iiisiste plus lourdement snr'l. m"- ^'^'■'*- Rodrigue

et sur le ^coup d^pt'qui " IT^^t^t la't^'^t '," 'T prompte ,. de l'offenseîr qu'il emble vonlmV ^^^'"^ ^r^P seulement de l'honneur onlraal ïï vouloir excuser; c'est Chimène. Elle eompîend ce Ka.'p IfT ^^^ '^ ^"^^^^^"^ non point avec le stoïcismp nn?>! " ? l^, P^^'^ à son tour, ia hauteur d'âme d'une h^romeCi Itf' ^^'^'%' "^^'^ ^^««  contenue d'une femme qui il? ^n^n^""!^' ^^ tendresse défend d'aimer. Poi^d^cusaTinn, ^- ^'° "ï"^ ^«^"t lui -ions Misérables. mâ^TC^S^r^S^S^rs^^^^

1. Discours sur lo trariprlie P'ocf ,i- r».

elTorU ingénus pour expier les hiorie.'^'f'*?r *!"« Corneille «•épuise en Bions. sar la terreur et la%r"e, plt ,"s ^ctinni^'! ""• '«,P»'-^«on Së'pa^ pour maxime, écrit-il, que la D^rfect^nn L^P ? '^"^ ^ "»° "^«âtre. . Etablisson^ delà terreur et de la pitié par^mÔven d'„i\ '^î"'^" """"^'^'^ ^ien à excter Rodngne dans le C.rf .,et il remaraue au. Lh"'"' *'^'"" •^«"""e peut faire é»*.t pour»-..vi par «„, ^'^.^ que saTaifreM^""^"' «"""»oi«ià plaind« .'â

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