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de Frédéric, soupira, et mourut.
Quelques jours après, M. d’Albé reçut ce billet écrit par Elise et dicté par Claire.
CLAIRE à M. D’ALBE.
Je ne veux point faire rougir mon époux, en prononçant devant lui un
nom qu’il déteste peut — être ; mais pourra — t —iloublier que cet infortuné voulait fuir cet asyle, et que mon or. dre seul l’y a retenu ; que dans notre situation mutuelle, ses devoirs étant moindres, ses torts le sont aussi, et que mon amour fut un crime quand le sien n’était qu’une fai blesse. Il est errant sur la terre, il a vos malheurs à se reprocher, il croira avoir causé ma mort, et son cœur est né pour aimer la vertu. Ô mon époux ! mon digne époux ! la