Page:Courant - Répertoire historique de l'administration coréenne.djvu/135

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les maladies et les mauvaises influences ; les danseurs étaient des enfants masqués et déguisés. Ces danses ont été supprimées au XVIIIe siècle.

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Si on achève la construction d’une Salle, un fonctionnaire, Toksangnyang mun’gwan [Tok syang ryang moun koan], 讀上樑文官 독상량문관, lit la composition faite pour la circonstance. De même des fonctionnaires donnent lecture des félicitations solennelles adressées au Roi et des décrets rendus à cette occasion (Sŏnjŏn’gwan [Syen tjyen koan], 宣箋官 선전관 ; Sŏn’gyogwan [Syen kyo koan], 宣敎官 선교관). S’il y a un édit d’amnistie, on nomme un Chaegŏgwan [Tjyei ke koan], 재去官 재거관 [Commentaire de P-E Roux : (le caractère 재 donné par Courant est une variante de 齋)], chargé de porter l’édit au Gouverneurs (n° 896). Un Myosa kagwan [Myo sya ka koan], 廟社假官 묘사가관, et un Namjŏn pigung kagwan [Nam tyen pi koung ka koan], 南殿閟宮假官 남전비궁가관, Assistants provisoires du Chongmyo [Tjong myo] (n° 449), du Sajiktan [Sya tjik tan] (n° 423), du Yŏnghŭijŏn [Yeng heui tyen] (n° 466), sont nommés, quand les mandarins titulaires se présentent aux examens. Il existe encore nombre d’autres missions analogues à celles qui sont indiquées, et surtout relatives aux prières et sacrifices, mais le catalogue complet en serait peu intéressant ici.