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Caroline.
Ce n’est pas l’air.
Gabrielle.
Si.
Caroline.
Non.
Gabrielle.
Si.
Caroline.
Tu te trompes.
Gabrielle.
Tu es sûre ?
Caroline.
Je te jure ! Tiens, c’est comme ça.
Elle chante.
J’ai z’une petite maison
À Barbe
À Barbe
J’ai z’une petite maison
À Barbizon !
LES DEUX FEMMES. — J’ai z’une petite maison.
Gabrielle, qui a battu la mesure.
Tu as raison. Je confondais avec l’Almée de la rue du Caire. Recommence un petit peu, pour voir.
Caroline reprend, Gabrielle l’accompagne, en sourdine d’abord, puis à toute voix.
Les deux femmes, à tue-tête :
J’ai z’une petite maison
À Barbe
À Barbe
J’ai z’une petite maison
À Barbizon !
Caroline.
Tu y es.
Gabrielle.
Ça ne doit pas être bien malin, d’avoir du succès au café-concert.
Caroline.
Parbleu ! — Et alors ?
Gabrielle.
Quoi, alors ?
Caroline.
Pour m’en finir avec ton histoire ?
Gabrielle.
Quelle histoire ?
Caroline.
L’histoire de la lettre.
Gabrielle.
Quelle lettre ?
Caroline.
La lettre de Rose Mousseron ?
Gabrielle.
La lettre de Rose Mousseron ?… Ah oui ! Une lettre immonde,