sent par notre détresse ; nous espérons que Dieu employera d’autres moyens pour nous délivrer du sac de deuil et de douleur, qui nous enveloppe. Nous espérons que le terme de nos maux n’est pas éloigné, et que la nouvelle Babylone tombera et sera ainsi justement recompensée de son iniquité.
C’est aux pieds du Dieu de l’univers,
père bienfaisant et sauveur des hommes,
que nous déposons notre infortune ;
c’est lui que nous prenons pour
appui. Il a entendu nos cris, il a écouté
nos gémissemens et a promis de nous
délivrer. Je me leverai maintenant, dit le Seigneur, à cause de la misère des pauvres et des soupirs de l’indigent : je les mettrai en sureté… (ps. 11 ℣. 6)
et j’ai connu que Dieu soutiendra la cause des affligés et le droit des malheureux
(ps. 139, ℣. 13), aussi nous
devons croire que ce sera lui qui nous
délivrera