Page:D'Hérisson - La Légende de Metz, 1888.djvu/322

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Ce que pense l’ennemi. — L’opinion du feld-maréchal Burgoyne. — Un article de la Comédie Politique. — Lettres des maréchaux Le Bœuf, Canrobert, Mac-Mahon. — L’enquête. — Une réponse du maréchal Bazaine 
 58


Pourquoi et comment l’Impératrice fit déclarer la guerre ? — La corruption de l’Empire. — Les surprises de la guerre d’Italie. — L’affaire de Sarrebruck. — D’après les journaux anglais. — Tout le monde commande. — Retraite sur Metz. — On a besoin d’une victoire. — Il faut passer la Moselle. — Commandement en chef. — Le dessous des cartes. — Départ de l’Empereur. — Le camp de Châlons. — Déjeuner impérial. — Impératrice et gouverneur. — Chez le Ministre de la Guerre 
 77


Trop tard. — Honneur et Patrie. — Un bouc émissaire. — Nous sommes en révolution. — Pour les opérations militaires seulement. — Condamné aux honneurs. — Conséquence d’une dépêche de l’Impératrice. — Ambition et lâcheté. — Un soldat de fortune. — Les avantages de l’initiative. — Indécision et indiscipline. — Plus de vivres 
 107


La victoire est aux gros bataillons. — Tout bâton est bon pour battre un chien. — Siège de Metz. — L’inaction. — La nuit n’est pas toujours le signal du repos. — Une victoire à la Pyrrhus. — Deux Français pour un Allemand. — Metz hôpital. — Vaincus par la faim 
 128


Débâcle du 1er  corps. — Mac-Mahon devant le Conseil d’enquête. — Imprévoyance. — Marche sur Mézières. — Un mouvement tournant qui est un désastre. — Deux jours perdus. — Capitulation en rase campagne, — L’épée de la France. — Les marchands 
 150