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Page:D'Isle - Deux cœurs dévoués, 1875.djvu/170

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DEUX CŒURS DÉVOUÉS.

pour la satisfaire, et son doux regard rendait le travail plus facile. Elle eut bien de la peine à quitter Morancé sans avoir vu la maison achevée ; on lui assura qu’au mois d’avril les enfants pourraient y être installés sans danger ; elle promit de venir pour cette époque, et ne s’inquiéta plus que d’arranger la demeure prêtée par le fermier Jean Lambert, de façon à assurer le bien-être de ses protégés pendant l’hiver.