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Page:D'Isle - Deux cœurs dévoués, 1875.djvu/176

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DEUX CŒURS DÉVOUÉS.

sonne ne répondit ; tout semblait silencieux dans l’intérieur ; il souleva le loquet, entra dans la cuisine solitaire, et, pensant que tout le monde était à la messe, il allait sortir pour se rendre à l’église, quand un bruit de voix dans la chambre voisine le fit changer de résolution.

Il entra. Près de la porte entr’ouverte, Louis reconnut sa mère ; à ses pieds était assise la petite Catherine. Le doux visage de Louise était plus pâle que de coutume ; une larme coulait lentement sur sa joue amaigrie, tandis que Catherine tâchait de la consoler.