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Page:D'Isle - Deux cœurs dévoués, 1875.djvu/194

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DEUX CŒURS DÉVOUÉS.

— Je vous ai amené mon frère hier, et vous en avez bien voulu pour garçon, c’est que… je serais content si, pour quelques jours seulement, il pouvait mener paître mon troupeau et le sien, parce que j’ai affaire.

— Tu as affaire, mon gars, dit en riant François Lourdet, et quelle affaire as-tu ?

— C’est not’mère qui a besoin de moi, répondit Louis embarrassé et rougissant, parce que… pour… après la mort du pauvre père… elle a des arrangements… enfin, c’est pour ma mère.

— Et combien de temps seras-tu absent ?