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Page:D'Isle - Deux cœurs dévoués, 1875.djvu/253

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DEUX CŒURS DÉVOUÉS.

deste fête ; son neveu battit du tambour pour le célébrer, en trépignant sur sa chaise ; le jeune sergent chanta une marche patriotique ; un chœur animé lui répondit ; on but à ses succès, à la France, on s’embrassa, on rit, on dansa : ce fut magnifique !

Dès, le matin, Jacques avait été présenter ses devoirs à la marquise ; sa mère et lui furent reçus par la noble famille avec une cordialité simple et amicale.

« Voyez-vous, ma mère, dit René à la marquise en tendant la main à Jacques, celui-là est brave