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Page:D'Isle - Deux cœurs dévoués, 1875.djvu/72

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DEUX CŒURS DÉVOUÉS.

enfant en larmes, ma chère grand’mère est mourante ; elle vous supplie de venir, ne serait-ce qu’une minute, adoucir ses derniers moments ; mais je vois bien que vous ne pouvez pas aujourd’hui ; pardon de vous déranger : dites-moi seulement quelques bonnes paroles, je les lui rapporterai.

— Comment s’appelle ta grand’mère, mon enfant ?

— Jeannette, madame, Jeannette la paralytique c’est sa chaumière qui touche à l’église.

— Ma pauvre paralytique ! s’écria la marquise ;