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Page:Décrets des sens sanctionnés par la volupté, 1793.djvu/14

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mienne, leur pine molasse eût orgueilleusement levé la tête, si leurs couilles enflammées leur eussent fait pressentir, par d’agréables picotemens, que rien ne pouvait être comparable au bonheur de foutre, loin de lancer sur vous l’infect venin de la satyre, ils eussent préconisés vos cons charmans, ils les eussent regardés comme autant d’idoles dignes de leurs hommages, et les bougres y eussent sacrifié.

C’est ainsi que pensait Socrate, ce sage philosophe ; tout en guidant les Athéniens dans le chemin de la sagesse et de la félicité, il foutait en cul le jeune et galant Alcibiade ; il prêchait l’exemple avec cet aimable guerrier, il lui insinuait sa doctrine par l’anus ; mais quoique ce fut-là sa méthode favorite, il était bien éloigné de blâmer celle de son disciple. A son tour celui-ci branlait le clitoris de Glicere, jeune et jolie bouquetière Athénienne, dont la croupe mobile, les fesses enchanteresses, les tétons palpitans étaient dignes des adorations de toute la Grèce. Après ces importantes occupations, nos philosophes s’asseyaient en plein sénat, et y dictaient les loix les plus sages. C’est ainsi que font nos députés. Ont-ils tort ? ma