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Page:Décrets des sens sanctionnés par la volupté, 1793.djvu/55

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sur les genoux, dans cette pose charmante elle étalait aux yeux de son ribaud un cul que le marquis de Villette eût à-coup-sûr baisé avec autant de dévotion que l’évêque de L...., nommé nouvellement à l’évéché de P..., baise la signature de Mirabeau, l’ame damnée qui lui a été si favorable pour cette promotion.

Il ne s’agissait plus que d’enfiler. Deux trous se présentaient : savoir ; un con de prédestinée, et un cul étroit bien digne d’être bougrifié ; lequel des deux prendra notre député, sera-ce le con ou le cul, ou réalisera-t-il le refrain de la chanson, chacun à son tour ? eh ! pourquoi pas ; mais avant de se terminer, que fait-il ?

D’abord il examina voluptueusement les fesses de sa divinité ; il les tâte, il les baise ; sa charnière mobile, la chute de ses reins, son croupion élastique, tout est pour lui l’objet d’une exclamation, et il disait : ah ! grand Dieu ! quels reins, quelles fesses, quel cul. Son outil n’aspirait qu’à engaîner ; mais craignant quelque faux-bon de sa part, il voulut préalablement l’éguiser sur la meule qui était exposée à ses regards libertins ; donc il le frotta sur les reins mobiles de sa