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Quand de la folie
La vive saillie
S’arrête affaiblie,
Vers la fin du banquet,
Qui vient du délire
Remonter la lyre ?
Du jus qui m’inspire
C’est le divin bouquet.
Lorsque le champagne, etc
Pour calmer la peine,
Adoucir la gêne,
Éteindre la haine
Et dissiper l’effroi.
Que faut-il donc faire ?
Sabler à plein verre
Ce jus tutélaire,
Et chanter avec moi :
Lorsque le Champagne
Fait en s’échappant
Pan, pan,
Ce doux bruit me gagne
L’âme et le tympan.