Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/113

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convulsivement, les fesses s’écartent et se referment, la fente qui bâille grande ouverte, exhibant le bouton vermeil, qui s’avance sur le bord entre les lèvres, qui obéissent aux mouvements des fesses, réglé par les coups qui les mettent en pièces ; car maintenant l’impitoyable bourreau, dont l’œil lance des flammes, se livre à un vrai carnage ; chaque coup déchire les chairs, le sang jaillit et coule sur les cuisses. À cette vue, sœur Sévère émue, dont l’office est terminé, tourne ses yeux vers le ciel, perd ses sens, et s’affaisse payant son tribut à l’humaine faiblesse. La victime, qui s’est tue, serre les fesses, se frotte lascivement les cuisses, et malgré l’enfer qui l’arde au dehors, elle a le paradis au dedans, car elle reste plongée dans une divine extase…

La tendre Cunégonde, qui attend son tour, épouvantée par la rigueur du châtiment qu’on vient d’infliger sous ses yeux à sa complice, tremble de tous ses membres, quand on vient la prendre pour la mettre en tenue de discipline. Malgré l’envie démesurée que j’ai de voir tout nu le joli corps de la tendre pucelle, je suis trop pressé de donner l’absolution au gros postérieur qu’on vient de châtier