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Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/182

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tendre, cette fois non plus, et je vois qu’il en est de même chez ma vis-à-vis.

Quatre autres Flagellantes remplacent les dernières, les unes prenant les verges qui nous ensanglantent, et dont l’horrible cuisson nous arrache des cris de douleur, tandis que les deux autres nous branlent à tour de bras. L’issue, quoique un peu retardée cette fois, est encore heureuse, malgré la torture que nous endurons derrière nous.

Nos bourreaux cèdent la place à d’autres bourreaux, qui nous tripotent des deux côtés pendant dix minutes, avant d’obtenir un résultat, un peu douloureux pour moi. Nous changeons encore de mains, et au milieu des hurlements de douleur de leurs victimes, les furies obtiennent encore un léger succès, après des efforts inouïs.

Le sixième quatuor de Flagellantes s’avance ; mon priape mollet ne tient plus dans la main ; sans doute que les doigts qui branlent ma maîtresse en face n’ont pas plus de succès sur le clitoris qu’ils tripotent, car la branleuse s’agenouille et vient glisser sa langue dans la fente, tandis que la mienne prend mon membre dans sa bouche, et le suce pendant