petit pantalon bordé de dentelles, qui moule
des rondeurs juvéniles déjà développées, on
la pose, sans qu’elle fasse la moindre résistance,
en travers des genoux de la maîtresse,
qui est assise sur une large chaise, placée de
façon à ce que je ne perde aucun détail de
l’opération. Elle retire d’abord la chemise du
pantalon, la roule jusqu’au haut des épaules,
maintient la coupable sous son bras gauche,
écarte la fente du petit pantalon sans le rabattre,
de façon à mettre au jour une partie des jolis
globes charnus qui émergent encadrés dans
l’étroite fenêtre, forçant l’ouverture, et elle
commence à appliquer sur le coin de chair
nue des claques retentissantes, qui froissent
et rougissent le blanc satin. L’écolière, qui
jusque-là n’avait bougé ni pied ni patte, se
tord sous la fessée, gesticulant, levant les
jambes, et lançant des coups de pieds.
« Tenez-lui les jambes, mademoiselle Hélène ; et vous mademoiselle Sophie, écartez bien la fente du pantalon. Clic, clac, clic, clac ; eh bien ! petite méchante, égratignerez-vous encore vos petites camarades ? Clic, clac, clic, clac, les mordrez-vous encore, vilaine enfant ? Clic, clac, clic, clac, je veux vous