Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/24

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» faire sentir votre méchant petit derrière, clic, clac, clic, clac, pour vous apprendre à ne plus battre vos petites amies.

— Pardon, madame Tannecuir, oh ! pardon ! je n’y reviendrai pas. Aie, oh ! vous me déchirez la peau, grâce, madame, oh grâce ! —

— Le voici votre pardon, ma chère, clic, clac, clic, clac, clic, clac. À bas la culotte, maintenant — ».

Mademoiselle Sophie maintient la jolie fille debout ; mademoiselle Hélène épingle la chemise dans le haut, puis déboutonnant le pantalon, elle le rabat jusqu’aux talons, découvrant en entier la jolie mappemonde dodue superbement développée, comme chez une grande fille, et les cuisses rondes et blanches ; la partie du derrière, qu’on a saluée dans l’encadrement de la culotte, semble un petit îlot semé de roses incarnadines, entouré d’une mer de lis éblouissants. Mademoiselle Sophie fait pencher la mignonne, la courbant presque en deux ; mademoiselle Hélène agenouillée tient les jambes écartées, et semble contempler avec des yeux gourmands, le charmant objet si drôle avec ses deux tons dif-