férents bien tranchés ; entre les deux cuisses
écartées de la mignonne, on aperçoit la petite
fente virginale, aux lèvres roses, hermétiquement
barrées, et au bas de la raie très ouverte,
le tout petit point noir.
Mais déjà le martinet retombe cinglant les fesses, qui se tortillent, bondissent, s’écartent, se referment, et rougissent sous les morsures des lanières. « Flic, flac, voici pour vos griffades, ma belle ; flic, flac, voilà pour vos coups de dents, vilaine petite méchante ; cinq six, sept, huit. —
— « Aïe, aïe, oh ! mon pauvre derrière, vous me l’écorchez, madame ; j’y ai le feu. Aïe, aïe, madame Tannecuir, grâce, grâce ! —
— « Non, non, point de pitié ; vous aurez tout ce qui vous revient ; il vous faut votre compte, mon cœur —. »
Flic, flac, les lanières retombent plus fort ; les coups espacés résonnent avec un bruit sec et sinistre ; le petit cul se démène sous les atteintes piquantes, les petites fesses striées de lignes rouges sur toute leur surface, se trémoussent, et la patiente hurle d’une façon pitoyable. Madame Tannecuir semble s’animer considérablement à ce jeu-là ; elle est hors