Aller au contenu

Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/32

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion
— 22 —


réchauffée par les légères atteintes, madame Tannecuir, jugeant que la préparation est ainsi suffisante, accentue la force de ses coups, qui rougissent la surface cinglée. Éliane, qui ressent sans doute vivement les atteintes maintenant manifeste par des soubresauts involontaires, les sensations qu’elle éprouve ; ses magnifiques fesses rebondies s’agitent, se soulèvent, laissant entrevoir le centre des délices à peine entrebâillé, et sous le ventre une partie de la belle toison noire ; mais le ventre retombe brusquement, et reste collé à l’ottomane énergiquement maintenu par la volonté de fer de la patiente.

Juliette continue à cingler vertement les gros hémisphères, qui prennent peu à peu une teinte cramoisie, sans que la sévérité de la correction arrache un gémissement à l’orgueilleuse fille. La fouetteuse cependant prodigieusement surexcitée par la plaisante vue de ce gros postérieur, qui bondit de nouveau sous les morsures de la verge, le cingle furieusement, creusant à chaque coup des sillons rouges et profonds sur les chairs palpitantes. Elle la fouette à tour de bras, secouant ses appas qui dansent sur sa poitrine, se déhanchant, poussant des