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Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/47

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qui retentissent bruyamment sur les chairs pleines et dures, mettant en mouvement tout le corps de la mignonne, qui est lancée chaque fois en avant ; la toison danse sur le ventre, les seins sautent sur la gorge palpitante, la patiente étouffe des gémissements. Clic, clac, clic, clac, les cuisses s’écartent ; je me penche vivement, et j’aperçois la fente virginale étroitement barrée au milieu d’un fouillis de poils ; la tentation me reprend de mordre quelque chose, mais comme ceux d’en haut, celui-ci aussi est du fruit défendu ; et je m’arrache à ma dangereuse contemplation, pour courir où j’ai mon couvert mis.

Après avoir contemplé un moment les effets de la fessée sur le magnifique postérieur, dont les lis ont fait place à la rose, je viens remplir un devoir pieux, et rendre à ma charmante maîtresse, les bons soins que je viens d’en recevoir. Je viens à mon tour constater le degré de chaleur qui arde le mystérieux réduit ; je me glisse sous les jupes, écartant tous les obstacles ; Juliette qui me devine, écarte les cuisses, je mets le nez sur l’objet, et j’ai le plaisir de constater qu’il a déjà acquis un beau développement, car il