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Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/58

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citait prodigieusement la vue de ces aimables contorsions, la fouettait comme une nonne en furie, et les dernières claques soulevèrent des cloques sur la peau fumante.

Juliette voyageait toujours allègrement sur ma quille dressée, et à ce moment le bouton suintait, le vagin qui emprisonnait ma colonne, se tordait sur elle, la serrait étroitement et lui arrachait des larmes brûlantes…

Mlle Sophie s’installe sur une chaise, prend la délinquante dans ses bras, la met entre ses genoux, relevant ses jupes, pour maintenir solidement la coupable entre ses cuisses, nous laissant voir, quand elle écarte les jambes, un coin de chair blanche aussitôt disparu. Elle presse la patiente sur son sein, la maintient fortement entre ses genoux, l’obligeant à tendre au bas des reins cambrés dans cette posture, le beau champ de manœuvre, tandis que Mlle Hélène s’emparant du martinet, vient reprendre la sévère correction.

Juliette, qui s’enquiert de l’état de maître Priape, le trouvant en tenue de service, me fait tenir debout, relève ses jupes par devant, s’accote à moi, prend ma colonne dans sa main droite, pose la tête à l’entrée, et se