Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/70

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion
— 60 —


de luxure, contemple avec ravissement ce superbe monument, dont l’aspect nouveau pour elle, la remue d’un frisson admiratif ; jamais jusqu’ici elle n’avait travaillé sur un aussi beau terrain de manœuvre.

Elle lève enfin la verge, une verge longue et souple ; un premier coup cingle la croupe en travers, au-dessous des hanches, avec un bruit sec sur la chair tendue, laissant sur les deux globes qu’elle cingle à la fois une empreinte rose ; un second coup, un troisième ; un quatrième résonnent bruyamment, chacun laissant sur le derrière une marque immédiatement au-dessous de l’autre ; un sixième retombe sévèrement, sans que le derrière manifeste la moindre émotion ; et quand la verge retombe pour la douzième, fois, le cul est rayé de douze sillons roses parallèles, sans que la patiente ait laissé échapper un soupir, ni fait un mouvement d’inquiétude. Juliette remonte, en cinglant adroitement les mêmes sillons, maniant la verge avec plus de sévérité, et changeant les roses en coquelicots. Hélène se trémousse enfin sous les cruelles atteintes, laissent voir dans le mouvement convulsif de ses fesses, entre ses cuisses écartées, les bords