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Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/97

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tous leurs vêtements, aident à les installer de manière que le bourreau puisse les châtier simultanément. La brune Gudule, agenouillée sur la marche d’un prie-Dieu, est attachée par le milieu du corps, au moyen d’une courroie, et par les jambes à deux anneaux de fer, pour qu’elle ne puisse pas tenter de se dérober à la correction ; on hisse la blonde Véronique à cheval sur la croupe de Gudule, attachée elle aussi, pour qu’elle ne puisse pas se défendre.

Quand les deux étages de postérieurs sont installés, les deux croupes l’une au-dessus de l’autre, immédiatement voisines, offrant une vaste surface aux caresses du martinet, les deux professes regagnent leurs stalles, et sœur Sévère prend l’instrument du supplice.

De notre cachette, la mère abbesse et moi, nous suivons attentivement les préliminaires. Les deux culs, l’un sur l’autre, tout les deux d’une vaste envergure, mais de ton différent, offrent un charmant contraste ; celui de la brune novice est d’une neige éblouissante ; celui de la blonde semble pétri de lis et de roses. Entre les cuisses écartées de Gudule, au milieu d’un fouillis de frisons