lés, ronds et fermes, doux au toucher comme le plus fin velours. La petite tache noire, ronde et grande comme une pastille de cermés, trouée d’un tout petit point noir, qui semble inabordable, fixe longtemps mon œil ravi ; je recommence à la couvrir de mes lèvres, à y enfoncer ma langue, puisant une nouvelle ardeur dans ces doux préliminaires.
On conduit la fillette dans la chambre à coucher. La comtesse la renverse en avant sur le bord du lit, les pieds à terre, étalant ainsi sa belle croupe. Mina d’un côté, Mercédès de l’autre, s’installent pour tenir les fesses écartées, et entr’ouvrir les bords, tandis que Lola humecte mon gland, qu’elle a pris dans sa bouche. Je m’avance, la verge à la main. Lola et Lison sautent sur le lit, empoignent la mignonne à bras le corps pour la maintenir immobile. Je suis devant la forteresse ; la comtesse, pendant que Mina tient les fesses écartées, tire sur les bords de l’anus ; la pointe de mon gland touche le point noir, à peine agrandi ; j’essaie de l’y faire glisser doucement, mais l’huis se referme, et le gland reste à la porte. Mercédès se reprend à