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CHAPITRE III.
Je prends part à la fête.
Le lustre était éteint, une veilleuse éclairait seule la chambre d’une pâle clarté. La comtesse, après avoir passé une chemise de nuit, s’était glissée dans le lit. J’étais assez embarrassé de ma personne en ce moment. Si je ne tente pas l’abordage, comment pourrai-je sortir décemment d’ici le lendemain ? Et si je le tente, comment serai-je reçu par la belle Lesbienne, qui me paraît se soucier fort peu de mes semblables. Tout était barricadé, j’étais bel et bien prisonnier, je ne pouvais sortir que par un coup d’éclat.