Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/152

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du bidet, laissant tomber sa chemise qui recouvrait imparfaitement ses adorables nudités. La soubrette dénoua les cordons, la chemise glissa jusqu’aux pieds de la jeune femme, la laissant toute nue, et superbe d’impudeur, elle regagna le boudoir suivie de la soubrette, qui portait le flambeau et une chemise de satin noir qu’elle avait prise dans une commode.

Je ne vis qu’un moment le corps svelte st gracieux, qui se déhanchait de la façon la plus lascive, la fille de chambre lui passa la chemise noire, et la maîtresse alla s’asseoir dans le fauteuil en face de moi, car j’avais changé d’observatoire, y prenant une pose savamment lubrique, en même temps que très favorable pour le divertissement, qui se préparait sans doute.

Elle avait mis ses deux cuisses sur les bras du fauteuil, pendantes des deux côtés, le bassin très élargi, offrant le con dans l’écartement le plus indécent et le plus favorable pour l’inspection et pour l’exploration de la cavité satinée, exhibant dans le haut à l’entrée, au-dessous d’une fine toison noire, un vrai clitoris de tribade, gros, luisant, et d’un rouge vif, que je voyais très bien de ma cachette éloignée. Le bas des fesses reposait sur le bord du fau-