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Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/160

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de vue, on pouvait s’endormir et se laisser surprendre et dans les draps on n’est pas toujours assez alerte pour se dégager à temps et éviter des accidents. Je pris donc ce qu’on semblait m’offrir de bonne grâce, car elle était restée sur le bord du lit, gardant la posture dans laquelle je venais de la réjouir si gentiment ; je baissai ma culotte et je plantai bravement mon dard dans l’ouverture béante.

Elle me reçut volontiers, me laissant voyager tout à mon aise dans le chaud repaire, si doux à occuper, et dans la fouille duquel je goûtai le plus grand charme, jusqu’au moment psychologique où, après qu’elle eut joui, elle se dégagea d’un solide coup de cul, se jetant à genoux et prenant mon gland dans sa bouche, elle reçut toute la mitraille, qu’elle avala goulûment jusqu’à la dernière perle.

— J’aime ça, dit-elle, en s’essuyant les lèvres avec son mouchoir, et par là, il n’y a rien à craindre aussi tant que vous voudrez ainsi ; au lit c’est trop dangereux, nous pourrions nous oublier, et il pourrait m’en cuire dans neuf mois.

Vous pourrez, si le cœur vous en dit maintenant que la connaissance est faite, revenir le soir à la même heure ; venez sur les bas. Vous assisterez aux scènes qui ne manqueront pas