Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/23

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fière beauté, lui dis-je en palpant le gros objet par-dessus le simple jupon d’indienne, sous lequel je sentais un ballonnement dur et élastique.

— Parguienne, comme toutes les filles, répondit-elle sans s’émouvoir du compliment non plus que du contact.

— Et cependant, ma fille, je paierais cher pour la revoir sans témoins, cette merveille, et la caresser, comme l’ont fait tantôt tes compagnes. Je donnerais bien un beau louis d’or, pour voir et tâter ton gros derrière.

— Dam ! not’ maître, s’il ne faut que ça pour vous faire plaisir, je puis ben vous le montrer en payant, puisque vous l’avez déjà vu gratis. Mais à c’t’ heure, je ne vois pas où je pourrais contenter votre fantaisie.

Elle disait cela du ton le plus naturel du monde, sans le plus léger trouble apparent. Je pris les devants, lui indiquant la grange au foin, où j’allais l’attendre. Il y avait deux issues, je devais entrer par l’une, elle devait venir par l’autre. Elle m’y retrouva deux minutes après. La grange était éclairée par une faible clarté, qui entrait par deux ouvertures.

Je m’avançai vers l’arrivante. Elle se prêta de la meilleure grâce à mon inspection, se laissant trousser par derrière, me permettant d’exami-