Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/24

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ner, de palper, de manier ses belles fesses potelées, humides, d’une envergure remarquable dans la posture penchée qu’elle avait prise sur mon désir, dures au contact et recouvertes d’une peau épaisse, résistante. J’avais gagné dans cette excitante inspection une violente érection, surtout dans le contact du bijou, que je trouvai brillant et suant après le pénible labeur de la journée.

Après toutes ces caresses consenties, voulues, reçues sans la moindre résistance, sur tous ses charmes nus, je pensais qu’elle ne résisterait pas davantage pour la consommation de l’œuvre de chair, et je la culbutai sur le foin, me disposant à empaumer le bijou, dont je venais de constater l’état de rut avancé. Mais elle s’était relevée, bondissant sur les pieds, mue comme par un ressort, me repoussant énergiquement, se refusant absolument à la chose, et je m’aperçus bien que je n’en serais pas le maître, même en essayant de violence, que je n’aurais jamais voulu employer.

— Ce n’est pas dans nos conventions cela, not’ maître, me dit-elle, je vous ai laissé faire tout ce que vous m’aviez demandé, vous avez vu, tripoté, caressé tout à votre aise mon cul et autre chose qui n’était pas dans nos entendus, mais pour cette affaire, elle est bien trop