Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/41

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— Oh ! je ne crains rien, me dit-elle, il y a longtemps que j’en fais l’expérience, et quand on est dedans et que je jouis, une petite affaire d’enfant n’en sortirait pas.

— Mais, il suffit d’une fois pour être prise, tu le sais bien, Janine.

— Non, non, je n’ai rien à craindre.

Cette assurance ne me suffisait pas, et je courus chercher, bien qu’il fût un peu tard peut-être, un instrument de précaution, dont je l’enseignai à se servir. Je versai de l’eau fraîche dans une bassine, et je lui montrai à manœuvrer la machine, en faisant jouer le piston. Elle poussait de petits cris d’effroi pendant l’opération.

Quand je fus un peu rassuré, sans être trop sûr cependant, je vins visiter l’installation postérieure. Elle avait un beau derrière à la peau très blanche et d’une extrême finesse, constellée de taches de rousseur, qui rendaient le satin éblouissant. Je ne pouvais me taire de cette peau si fine sur ces belles fesses de paysanne, et je leur prodiguai des caresses qui lui furent si sensibles, que le voisin s’en émut, et se mit à bâiller d’aise. La légère ablution que je venais de lui infuser, et le léger bain qu’elle venait de prendre, firent renaître en moi la fantaisie qui m’avait mordu tout à l’heure devant l’objet