Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/52

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jouir son amie au clair de lune. J’entendis les mêmes soupirs qu’au bois, mais plus intenses, et renouvelés deux fois très vite.

Elle ne résista pas davantage, quand je vins la pénétrer de mon dard rutilant dans la même posture, un peu gênante pour l’assaillant, mais elle s’y prêta de si bonne grâce, s’avançant sur le bord du fauteuil que je pénétrai jusqu’au fond du brûlant asile, dans lequel j’étais logé étroitement. Elle devait avoir un mignon clitoris, je l’avais déjà trouvé sous ma langue, et ma verge le frottait à l’entrée dans son va-et-vient incessant. Elle recommença à roucouler, quand elle, se sentit inondée jusqu’au cœur, car ici, je n’avais pas à me gêner, il y avait le pavillon endosseur.

J’aurais volontiers réitéré la manœuvre, mais je craignis qu’on ne la cherchât, et maintenant que j’avais franchi le Rubicon, je n’aurais qu’un signe à faire pour la faire accourir, et après l’avoir obligée elle aussi d’accepter le prix de la soumission, je dois dire qu’elle ne le prit qu’à la dernière insistance, je tirai le verrou, m’assurant que personne n’était sur son chemin, et je donnai la volée à cet oiseau rare, après lui avoir fait promettre de revenir le lendemain.

Le lendemain elle ne put pas venir, mais le