Page:Dacre - Zofloya, tome 2.djvu/148

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maintenant que je vais jouir d’un bonheur parfait !

— Henriquez pressa la main de son frère, et adressa à Victoria les complimens les plus agréables ; tandis que celle-ci le regardant avec surprise, fit soudain entre ces deux personnes une comparaison au désavantage de celui en qui elle n’aurait jamais dû trouver un seul défaut. Cet être excellent s’assit entre les deux objets de sa tendresse, et connut le bonheur comme il méritait de l’éprouver.

On n’a pas cru nécessaire, avant cet instant, de grossir un volume, en décrivant les causes qui avaient forcé le départ du frère de Bérenza de Venise. Cependant on a donné à penser que la raison en était une passion malheureuse que ce jeune