Page:Dacre - Zofloya, tome 2.djvu/51

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assez pour faire toute la besogne…. sûrement, pensa-t-il… Nina ? Nina gémissait toujours.

— Allons, brave femme, essuyez vos larmes : si vous voulez que je demeure avec vous, je ferai tout mon possible pour vous rendre autant de services que le fils que vous avez perdu. Acceptez-vous mes offres ?

— Oh ! que le ciel soit loué et béni, s’écria Nina dans le ravissement, et en se mettant à genoux pour baiser la terre. Eh ! bien, comme je vis, mon pauvre esprit avait cette idée-là de vous en vous voyant, cher jeune monsieur : et quoique je ne me console pas d’avoir perdu mon pauvre Hugo (elle pleurait de nouveau en disant cela}, cependant je proteste au nom de la Sainte Vierge