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Page:Dacre - Zofloya, tome 4.djvu/73

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action comme une preuve d’un ardent amour, d’autant que ses yeux le dépeignaient, elle sourit. Le maure la pressa contre sa poitrine… puis, la repoussant d’une manière singulière, il l’examina de la tête aux pieds d’un air glorieux, et ajouta : « Oui, tu es à moi, charmante, superbe créature, et c’est pour l’éternité. »

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