Page:Dante - L’Enfer, t. 1, trad. Rivarol, 1867.djvu/87

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ce livre par qui nous fut révélé le mystère d’amour [9].

Tandis que cette ombre parlait, l’autre pleurait si amèrement que je sentis mon cœur défaillir de compassion ; et je tombai comme un corps que la vie abandonne.