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La bête formidable tomba à terre… (P. 26.)
CHANT SEPTIÈME
lutus, d’une voix rauque, s’écria : Papé satan,
papé satan, aleppe. Mais le généreux guide, qui
fut une source abondante de savoir, me dit, pour
me rendre du courage : « Ne crains rien : quelle
que soit sa puissance, il ne t’empêchera pas de descendre
dans cette enceinte. » Puis, se retournant
vers ce démon superbe, il lui cria : « Tais-toi, loup
de malédiction, déchire-toi toi-même dans ta rage. Ce n’est pas sans raison
que nous pénétrons dans l’abîme : on le veut ainsi là où Michel a puni
le viol orgueilleux. »