Page:Dante - Rimes, 1847, trad. Fertiault.djvu/20

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comprise dans son Cours de littérature au moyen âge ;… d’autres sonl-ils allés au.delà ? — c’est ce que nous n’avons pu parvenir à savoir, malgré le vif désir que nous en avons eu et que nous en avons encore. — C’est une tache de bibliophile que nous léguons, quant à présent, non pas à plus ardent que nous, mais à qui aura à sa disposition plus de moyens de recherches.

Troisième Question : — Comment avonsnom fait ce travail ? — Celle fois nous allons répondre plus longuement que les deux précédentes, la troisième question étant celle qui provoque de notre pari les plus longs éclaircissements.

De tous les systèmes de traductions adoptés jusqu’à présent, un seul nous paraît admissible, c’est celui qui reproduit fidèlement l’original. Pour Dante, plus que pour tout autre, ce système doit être scrupuleusement suivi ; car du moment que l’on s’écarleraii,du texte pour arranger, polir, embellir, on pourrait avoir, il est vrai, une traduction plus coulante, plus euphonique,