Page:Dante - Rimes, 1847, trad. Fertiault.djvu/30

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contre la clarté des pièces… Pouvions-nous choisir ? — Les notes, auxquelles, du reste, on aura à recourir pour chaque pièce de ce recueil, donneront de plus amples détails sur ces bizarreries de forme.

Maintenant, après les explications qu’on vient delire, quand nous serions le premier traducteur de ce genre, aurions-nous besoin d’une justification ?… Qu’on nous permette d’en douter. — D’ailleurs, nous avons des modèles ; et, pour n’eu citer qu’un ou deux, qu’on veuille bien songer à M. de Chateaubriand pour su traduction du Paradis perdu, à M. Brizeux pour celle de la Divine Comedie, à M. de Gramont pour celle de Pétrarque, et à plusieurs autres, et l’on verra, seulement par la génération présente, que nous sommes précédé dans cette carrière par une brillante foule d’aïeux.

Ce n’est donc point le reproche d’initiative trop hardie que nous avons à craindre, mais bien plutôt celui de mauvaise réussite dans notre entreprise… Venons-en à ce point.

Dans tout ce qui précède on n’a vu que l’exposé