IV.
conclusion.
Tels sont la source, la puissance et l’ordre du ministère, tel qu’il nous est présenté dans la Parole de Dieu.
Essentiel au Christianisme, parce que le Christianisme, selon l’activité de l’amour de Dieu, cherche ce qui était perdu ; rendant témoignage à l’œuvre et à la victoire de Jésus, par lesquelles les perdus peuvent être sauvés, ce ministère de Jésus seul digne d’être ainsi glorifié, reçoit sa seule force, trouve sa seule source dans le St.-Esprit envoyé du ciel. C’est le ministère du St.-Esprit dans le choix et l’emploi de ses serviteurs. À cet égard, Dieu est souverain. L’exercice des dons qu’il donne est réglé par le St.-Esprit souverain au milieu de l’Église. La Parole nous en fournit les preuves et les exemples. Comme source ou autorisation du ministère, l’homme n’entre pour rien que pour le péché.
On verra que je n’ai pas touché la question des charges locales, comme n’étant pas
