Page:Darien, Bas les coeurs, Albert Savine éditeur, 1889.djvu/210

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— Espérons que ça nous servira de leçon, dit Louise.

— Enfin, dit Mme Arnal, nous pouvons nous tranquilliser un peu. L’armée allemande est trop sévèrement commandée pour se livrer à des désordres graves. Il y a beaucoup à espérer d’une discipline semblable…..


Nous descendons l’escalier.

— Ah ! la discipline, s’écrie mon père, c’est beau. On dira ce qu’on voudra, c’est bien beau. Je ne souhaite qu’une chose, c’est que les Français en aient un jour une pareille.

— Ainsi soit-il ! dit le père Merlin.