Page:Darien, Bas les coeurs, Albert Savine éditeur, 1889.djvu/271

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jambe la barre d’appui et je me laisse glisser à terre.

Et je me sauve, à travers champs, à travers bois comme dans mon rêve, dans la direction de Versailles, en courant de toutes mes forces…

Graine d’assassins ! Petit-fils d’assassin !

Oh ! que j’ai peur ! oh ! que j’ai honte !… Je ne veux plus voir mon grand-père !…

Jamais !… Jamais !…