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Page:Darwin - Voyage d’un naturaliste autour du monde, trad. Barbier, 1875.djvu/101

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LE ZORILLO.

chose que cette huile ait touchée, on ne peut plus s’en servir. Azara dit qu’on peut en percevoir l’odeur à une lieue de distance ; plus d’une fois, quand nous sommes entrés dans le port de Montevideo et que le vent soufflait de la côte, nous avons senti cette odeur à bord du Beagle. Il est certain que tous les animaux s’empressent de s’éloigner pour laisser passer le zorillo.