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louise, s’adressant à lui.
Maintenant, dites du mal de Namoun, si vous voulez ; moi, je suis prête à tout lui pardonner à cause de son tambour Lakdar… Dam !… c’est peut-être parce que j’en ai un tambour, moi aussi. Vous comprenez… Tambour Henri.
madame jourdeuil.
Est-elle sotte, cette petite fille, de vous faire pleurer comme cela quand on est bien content !
louise.
Là ! là ! j’ai fini. (Décrochant un chapeau de paille pendu à la muraille.) Je vais chercher mon père.
madame jourdeuil.
Ah mon Dieu ! c’est vrai, le pauvre homme ; cours vite.
franqueyrol.
Si vous voulez que j’y aille, mademoiselle ?
louise, sans bouger de place.
Oh ! non ! c’est inutile… l’atelier est à deux pas.
madame jourdeuil.
Eh bien ! va donc !
louise.
Oui, mais c’est que… (Elle montre la cuisine.)
madame jourdeuil.
Quoi ?… (Louise dit un mot à voix basse.) Hein ?… (Louise répète son mot très bas.) Plaît-il ?…