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franqueyrol, montrant les étagères.
Oui, je vois que vous avez cette passion.
madame jourdeuil.
Oh ! ici, ce n’est rien, c’est à l’atelier qu’il y en a.
le père jourdeuil.
Oui, j’ai quelques jolis morceaux. C’est moi qui possède le fameux prie-Dieu d’Henri III avec les portraits des mignons sur les panneaux.
madame jourdeuil.
Dis donc, mon homme, combien t’en offrent-ils, de ta collection, au musée de Cluny ?
le père jourdeuil.
Vingt mille francs Je n’ai qu’à lever le doigt, l’argent sera ici demain matin !… mais, macach, comme dit Namoun… ni à vingt, ni à trente, ni à cent… je ne la vendrai jamais.
madame jourdeuil, le regardant avec admiration.
Oh ! ces artistes… l’argent n’est rien pour eux !…
franqueyrol, à Louise qui coud près de la fenêtre.
Il ne vient donc pas, ce frère ?
louise, tristement.
Non… il aura décidément manqué le train. (Elle se lève et retourne dans le fond.)
madame jourdeuil.
Mon Dieu ! mon Dieu !
le père jourdeuil.
Eh, bien, quoi ! mon Dieu ! mon Dieu !… c’est un