Page:Daveluy - Les holocaustes, 1935.djvu/176

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non, tu ne mourras pas, finit le sauvage avec solennité, debout, les bras étendus.


Celui-ci se retourna avant de quitter la chambre.

Radisson n’en tenait pas d’aise. Tout allait bien.

Avant de quitter la chambre, l’Iroquois se retourna cependant et un peu inquiet demanda :

— Mon fils a-t-il pensé aux abondantes victuailles dont il lui faudra faire provision ? Nous serons bien trois cents, plus peut-être.

— Mon père, ne craignez rien. Les miens feront leur part avec une large générosité.

— Bien, bien. Et quand veux-tu offrir ce festin, mon fils ?