« L’adultère perdra son âme par la folie de son cœur. »
« La femme vigilante est la couronne de son mari. »
« Qui trouvera une femme forte ? »
« Le cœur de son mari met sa confiance en elle. »
« Elle lui rendra le bien et non le mal. »
« La grâce et l’amitié délivrent. »
Des larmes étaient tombées sur ce verset terrible :
« Tous les jours du pauvre sont mauvais. »
Ottevaere frissonna.
Plus loin il lut :
« L’espérance différée afflige l’âme ; le désir qui s’accomplit est un arbre de vie. »
Puis il vit encore, taché par des larmes, le verset suivant :
« Quoiqu’il arrive au juste, il ne s’attristera point.
» Les billets du sort se jettent dans un pan de la robe, mais c’est le Seigneur qui en dispose. »
Ottevaere chercha encore, et trouva ce passage souligné :
« Avant que la chaîne d’argent soit brisée ; que la bandelette d’or se retire ; que la cruche se brise sur la fontaine ; que la roue se rompe sur la citerne ; que la poussière rentre en la terre d’où elle avait été tirée. »
Avant ? se demanda Ottevaere.