lant pas être mis en scène de mon vivant. Si ce projet se réalise, je recommande à Hilaire de ne pas permettre que cette publication ait lieu sans qu’il y soit fait les retranchements et corrections nécessaires.
« En prévision de cette publication, j’ai rédigé un écrit intitulé F. Le Play, son œuvre, sa méthode, sa doctrine, son esprit, d’après ses écrits et sa correspondance. Hilaire jugera, s’il y a lieu, de publier cet écrit. En ce cas, il faudrait le revoir ; car ce n’est qu’un premier jet, un brouillon improvisé… »
Dans un autre manuscrit, il déclare qu’il a tenu à faire connaître à ses enfants les qualités et les vertus de son éminent ami, et qu’il laisse de lui dans les archives de la famille un souvenir fidèle, et pour ainsi dire vivant, de cette grande et noble figure.
Je viens donc accomplir ce que je considère comme un devoir envers la mémoire de celui qui fut lié d’une intimité si parfaite avec F. Le Play. J’ajoute qu’en présence de la fausse interprétation dont sa méthode a été l’objet de la
