SECTION I. DE LA STXTIQUI. 99
h étant, comme ci-devant, le nombre des sections , et h leur dis- tance.
a33. Pareillement, d'après ce qui est dit art. (a3o), on conçoit f^f' " que la distance du centre de gravité du solide', au plan qui ren- d-*rm.m>r po "e ferme la section doit être
vite d'un >» ide quelconque r#-
/ o. 1(1) ■+• 1 . 4/(1) -+- a . iiÇi) -f- 3 . 4 <■( 4 > -t-oc -H (k — 1) *(k) \ ï gulit-r ou iité-
234. En prenant de cette manière les distances du centre de gravité à trois'plans perpendiculaires entre eux, on aura la po- sition de trois autres plans dont l'intersection commune donne le point même où se trouve le centre de gravité.
Lorsqu'on a les sections ou profils nécessaires pour déterminer n<-mirque une des distances, il n'est pas nécessaire de prendre sur le corps "uïîojSfSS même les sections ou profils nécessaires pour déterminer les eor P*- deux autres ; car on sait très bien que ,. lorsqu'on a un nombre suffisant de profils d'un corps, parallèles à un plan donné , on peut , par leur moyen , trouver graphiquement les profils du même corps parallèles à un plan quelconque.
a35. Si le corps irréeulier dont on veut déterminer le centre MéthodVpour de gravité est susceptible d'être soulevé, ou remué, et s'il est 1 entre de era-
{>ossible de le suspendre à une corde , ou de le mettre en équi- uuJSLSZ ibre sur l'arête d un prisme, ou sur une pointe quelconque, on Jjjj^*"' £ déterminera aisément son centre de gravité par le procédé sui- Rendre, vant :
Il faudra, au moyen du fil d'un à-plomb, suspendu à côté du
gnement du fil à -plomb et du point de suspension, ou de l'arête du prisme. On déterminera de cette manière , en mettant le corps en équilibre sur trois différents sens, trois profils qui four- niront six intersections sur la surface du corps , et détermine- ront les extrémités de trois axes qui se rencontreront en un point commun qui sera le centre de gravité.
Dè l'équilibre dans les machines.
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236. Les réflexions contenues dans les art.(5o, 61 et 98), ont x,tiu »» s*- sufïisaniment développé l'idée qu'on doit se faire de ce qu'on qu'an <w?«* appelle machines en mécanique. Ce sont en général les instru- S£ « r ments qu'emploient les hommes pour appliquer les moteurs l " , " lu,
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