Page:De Prony - Nouvelle architecture hydraulique, Première partie, 1790.djvu/151

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SECTION I. DE LA STATIQUE. - ify

sivement A', A", etc. , il vient knn' = A"N'N", knn'n" = rN'N"N w , etc. Ainsi

326. Dans un assemblage de roues dentées et de pignons gui EipwMiong*- $' engrènent mutuellement, le nombre de tours que fait Je premier "cnt^X pignon est au nombre de tours que fait, dans le même temps, la " 0 ° u ™ b " u pr ï dernière roue, comme le produit des nombres de dents de toutes f^^fc les roues est à celui des nombres d'ailes de tous les pignons. tmnfehéi*. • Il est bien évident que si le premier pignon est au centre mmtoue - d'une roue dentée , et si la dernière roue porte un pignon , le nombre des dents de la première roue , et celui des ailes du der- nier pignon, ne doivent point entrer en compte, puisqu'ils sont étrangers à l'engrenage du pignon et de la roue dont on veut comparer les tours.

32 7 . L'équation knn'n". . . • n<'> = A«>NN'N" ; • • •**<•'> (dans k JJ^«  laquelle (*) ne désigne point une puissance, mais le n° de l'ac- ro U « B tde P £

centuation relative au nombre 1 des roues mises en action par le Sum™!?»

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premier pignon) donne -i- = KW ' w '" w . On voit que lorsque ni.tdLZ

A nnn....n nation du pro^

le rapport ~ du nombre de tours du premier pignon , à celui Wéme "

des tours de la dernière roue , est donné et égal à un nombre connu a, le nombre des roues et des pignons intermédiaires n'est assujetti qu'à la condition de satisfaire à l'équation NN'N", etc. = ann'n'\ etc., N, N', etc., et n, n\ etc., étant des nombres entiers. Le problême est donc indéterminé, et se résout par les méthodes connues pour ces espèces de questions.

328. Une des applications les plus simples et les plus utiles JCifaï qu'on ait faites du tour et des engrenages , est la machine qu'on ««c. nomme cric, et qui sert à soulever, au moyen de la force d'un

seul homme, des fardeaux considérables. La figure p3 présente, n° 1, l'élévation extérieure d'un cric, où l'on voit la manivelle et l'encliquetage , dont l'utilité est d'empêcher la manivelle de tourner en sens contraire lorsque , le fardeau portant sur la barre de fer dentée, la force de l'homme n'est point appliquée à la manivelle. On levé le cliquet lorsqu'on veut tourner en sens contraire , afin de faire rentrer la barre de fer dans le châssis qui la renferme. Les n 0 * 2 et 3 font voir deux espèces de mécanismes intérieurs pour le cric : dans le premier, c'est un simple pignon

S lacé dans Taxe de la manivelle qui s'engrène dans les dents e la barre verticale ; dans le second , le pignon de la manivelle s'engrène dans une roue dentée portant elle-même un second pignon qui s'engrène dans les dents de la barre verticale. Tomel. S